Sections sportives : Olivier Peres au lycée Ambroise Paré de Laval

Publié le 16/11/2018

Olivier PERES a pris cet été les rênes des sections sportives du lycée Ambroise Paré de Laval. Il coordonne les sections garçons, féminines, futsal et arbitrage, et, sur le terrain, entraîne la section garçons. Portrait.

Une carrière professionnelle et une reconversion comme entraîneur

Passionné de football depuis plus de 35 ans, Olivier Peres a porté plusieurs casquettes dans le football : joueur professionnel, puis entraîneur, formateur, préparateur athlétique. En tant que joueur, il a évolué pendant dix ans au Stade Lavallois, en L1 et L2, puis à Poitiers et Châtellerault en National et CFA. Ensuite, il a entamé sa reconversion et a passé différents diplômes d’entraîneur (BE1, BE2, DEF).

Aujourd’hui, les chiffres parlent : 18 ans de coaching, surtout au niveau régional autour de Laval, et 500 matches coachés, après 500 matchs joués.

Une envie de transmettre

Désormais, il nous confie : « Je suis très content de poursuivre mon envie de transmettre à tous les niveaux. Je prends en charge un nouveau poste qui a été créé, comme cette toute nouvelle Ligue qui a déjà un an.

Un poste s’est créé et ouvert sur la coordination et la responsabilité des sections sportives du lycée Ambroise Paré de Laval. Un poste de coordination générale, et également de terrain pour la section sportive au niveau des lycéens footballeurs.

Donc très content de cette opportunité et de la confiance accordée du Président Loison. Je suis très content d’être apparenté Ligue des Pays de la Loire avec ces nouvelles missions. »

Olivier Peres prend donc la succession de Bernard Mottais qui a dirigé la section garçons du lycée Ambroise Paré pendant plus de trente ans. « C’est un poste étendu de celui que proposait Bernard Mottais. J’ai un œil sur mes collègues entraîneurs et formateurs au niveau du futsal, des féminines, deux sections qui s’ouvrent cette année, avec l’objectif prononcé de la Ligue et du lycée d’obtenir le PEFA (Pôle Excellence de Foot Amateur). Un sacré beau challenge. »

Par Valérie Vilain

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