Journées Nationales de l’Arbitrage 2018 : Inès et Louis de la partie !

Publié le 19/10/2018

La 17e édition des « Journées Nationales de l’Arbitrage » a officiellement débuté ce mercredi octobre et se déroulera jusqu’à la fin du mois. La Fédération Française de Football (la Ligue de Football Professionnel et le football amateur dans son ensemble) mais aussi celles du rugby, du handball et du basket-ball s’associent  à cette opération nationale afin de mobiliser l’ensemble des acteurs du sport et sensibiliser tous les publics autour du respect de l’arbitre et qui sait de susciter des vocations !

A l’occasion de ces J.N.A., la Ligue de Football des Pays de la Loire a choisi de mettre en lumière deux de ses jeunes arbitres pour donner le coup d’envoi fictif de rencontres de Ligue 1 : Louis FLACHOT sera ainsi présent ce samedi sur la pelouse de la Beaujoire lors de la rencontre FC Nantes-Toulouse FC (20h00) tandis qu’Inès ES SALHI (photo principale) a été invitée pour la rencontre Angers SCO-Olympique Lyonnais (samedi 27 octobre – 17h00).

Inès ES SALHI (J.A.L.), licenciée au club d’Angers NDC.

Louis FLACHOT (J.A.F. et Arbitre R2), licencié au club d’Orvault RC.

« La Poste, partenaire des fédérations et des ligues professionnelles de football, rugby, handball et basket-ball depuis 10 ans, s’engage cette année encore pour valoriser et mettre en lumière les arbitres et leur fonction. L’entreprise développe le programme « Tous arbitres » avec la triple ambition de sensibiliser les joueurs et le grand public à l’importance du rôle de l’arbitre, d’accompagner concrètement ces hommes et ces femmes au service du sport, et de susciter de nouvelles vocations »

Laura GEORGES (secrétaire générale de la FFF) :
« Il faut faire connaître aux gens l’arbitrage, le mettre en valeur et en faire comprendre les difficultés car l’arbitrage n’est pas donné à tout le monde, ce n’est pas facileIl faut aussi savoir garder nos arbitres, et si l’on veut notamment intéresser les jeunes filles, il faut leur offrir des vraies perspectives de carrière ».

Laure BOULLEAU (ambassadrice JNA) :
« Cela se passait toujours bien pour moi avec les arbitres, a indiqué l’ex-défenseur des Bleues, et je pense que l’on est très, très dur avec eux. On ne se rend pas compte à quel point cela va vite en match. L’assistance vidéo permet d’apaiser un peu les choses sur le terrain, tant mieux, et je trouve que nos arbitres sont encore meilleurs désormais, plus lucides ». 

 

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Par Guillaume Brochet

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